Le texte ne prévoit même pas de fixer un plafond décent au prix des carburants, du gaz et de l'électricité, parce que, tout simplement, le marché continue d'imposer sa règle.
Le monde d'Emmanuel Macron et de ce projet de loi est aussi celui qui consume peu à peu notre protection sociale, en baissant toujours plus le montant des contributions sociales et donc en asséchant nos caisses d'assurance chômage et d'assurance maladie.