Monsieur Lecoq, il a existé une parenthèse sous Eltsine, entre Andropov et Poutine. Il avait alors été proposé à la Russie d'adhérer à l'OTAN. Ce moment est excellemment décrit dans le rapport du président Bourlanges. Nous aurions pu espérer que l'impérialisme moscovite ne serait pas repris en main par le KGB. Aujourd'hui, c'est trop tard.
Nous sommes tous d'accord, il ne faut pas laisser tomber les Kurdes.