Pierre Meurin :
Un audit annuel des comptes de la Société des grands projets me paraît légitime. Les dérives financières qui ont été constatées s'agissant du Grand Paris Express justifient notre méfiance. Ce n'est pas vivre au XIXe siècle que de demander un rapport de la Cour des comptes à ce sujet. Vous parlez du XIXe siècle, mais c'est grâce à vous que nous récupérons de l'électricité carbonée allemande, produite notamment à partir de charbon. Nous n'avons pas de leçons à recevoir en matière de passéisme écologique !