Même avis. Par définition, le développement des transports collectifs et des transports décarbonés vise – comme les ZFE, d'ailleurs, mais ne rouvrons pas ce débat – à lutter contre la pollution de l'air. Il s'agit là d'un objectif intrinsèque.
S'agissant de la qualité actuelle de l'air dans les transports en commun, en particulier dans le métro parisien, j'aurai l'occasion d'annoncer plusieurs mesures complémentaires dans les semaines qui viennent. Je me félicite que l'autorité organisatrice des transports (AOT), en l'occurrence la région Île-de-France, ait également annoncé, par la voix de Valérie Pécresse, des mesures visant à accélérer la réduction des émissions de particules. Il s'agit notamment de mieux filtrer les particules issues du système de freinage, ou encore d'identifier avec précision les différentes sources des émissions de particules, comme s'y emploie la RATP – en effet, de nombreuses métropoles dans le monde disposent de données encore insuffisantes. Nous agissons activement pour atteindre ces différents objectifs.