Enfin, j'ajoute que nous avons manqué un chemin, celui de la régulation. Je le dis très clairement : c'est dommage. Ce chemin de la régulation, vous verrez que nous l'emprunterons tôt ou tard, parce que ce n'est pas un chemin coercitif : c'est un chemin d'équilibre. La santé, c'est ce qu'il y a de plus précieux et nous devons, sur l'ensemble du territoire et en tout endroit, apporter en la matière une réponse de qualité.