Si vous le permettez, madame la présidente, je le défendrai en même temps que l'amendement n° 686 , qui s'inscrit dans le même esprit. Ces deux amendements d'appel visent à soulever les questions de l'organisation des formations et de leur territorialisation. L'objectif est de faire en sorte que les capacités de formation futures ne soient pas contraintes par les seules capacités de formation existantes, mais puissent être définies en fonction des besoins, dans le but d'y répondre au mieux. Ces capacités devraient en outre mieux s'appuyer sur les territoires, ce qui permettrait de moins éloigner les étudiants des zones où ils vivent et où ils pourraient ensuite être amenés à s'implanter. Comment envisagez-vous les évolutions à venir en matière d'organisation des formations ?