Elle reste fragile, mais elle ne sera pas plus solide si l'on impose une obligation – nous n'allons pas relancer le débat à ce sujet. Ce serait source de difficultés, sachant qu'un praticien aurait toujours la possibilité d'obtenir une dérogation dès lors qu'il dépasse 50 ou 60 ans.
Laissons fonctionner ce qui fonctionne, sans ajouter de contrainte supplémentaire. Dans les territoires où il n'y a pas de médecins, continuons, grâce à la loi Rist, à nous appuyer sur les professionnels paramédicaux, avec le soutien de la régulation médicale.