Monsieur Dharréville, je vous ai donné tout à l'heure ma conviction profonde sur les contraintes à l'installation : qu'il s'agisse d'instaurer un conventionnement collectif ou d'interdire l'installation dans certains secteurs, qu'importe l'habit, il s'agit de modes de coercition, qui touchent profondément à l'organisation du système de santé, fondé sur les deux jambes de la médecine libérale et de la médecine hospitalière.
Vous évoquez des zones surdenses. Que le parlementaire qui considère qu'il y a trop de médecins dans sa circonscription lève la main – je saurai ainsi où aller chercher des médecins.