M. Valletoux me répond que ce n'est pas le cas : c'est son droit, il défend son texte. Quant à vous, monsieur le ministre, vous me dites qu'en tant que chef de service, je sais comment les choses se passent et que les réunions sont indispensables. Vous reconnaissez donc que vous souhaitez bel et bien appliquer l'organisation hospitalière à la médecine de ville.
Or oui, en tant que chef de service, qualité que vous avez aimablement répétée, je sais le temps que nous perdons en réunions, au détriment de celui que nous accordons aux patients.