Je suis assez sensible à l'émergence de cette notion d'espérance de vie en bonne santé, définie formellement comme l'espérance de vie sans incapacité. Nos politiques de santé ont longtemps eu comme boussole l'espérance de vie tout court, un concept qui ne suffit plus comme l'ont très bien dit M. Peytavie et d'autres. L'espérance de vie en bonne santé doit devenir un point cardinal de nos objectifs en matière de santé. Je remercie les auteurs et signataires de ces trois amendements auxquels je suis favorable.