M. Di Filippo a raison : il faut craindre l'arrivée de cabinets mobiles employant des médecins salariés. Il ne s'agit plus là d'intérim ou de remplacement, c'est un virage que prend l'exercice médical, qui doit nous inquiéter et nous inciter à la vigilance pour ajuster la législation, car ce type de pratiques fragilise l'ancrage des soins dans les territoires.