Monsieur Vigier, je n'ai pas proposé de réguler l'intérim mais de l'encadrer. Les divers propos échangés m'ont convaincu que la durée n'était peut-être pas le bon paramètre. En revanche, je continue à penser que fixer une part maximale de temps consacré à l'intérim ne serait pas une mauvaise solution. Si le praticien peut consacrer une journée de sa semaine de cinq jours à l'intérim et percevoir un surcroît de salaire, le métier n'en sera que plus attractif. Nous ne faisons rien d'autre lorsque nous autorisons les praticiens hospitaliers à exercer parallèlement en libéral. Au moins ne partent-ils pas. En l'espèce, il resterait 80 % du temps professionnel pour le service.