Les ministères de l'éducation nationale et de la santé doivent promouvoir les études de médecine au sein des lycées situés dans des déserts médicaux, jugés peu attractifs par les jeunes médecins à moins, considèrent 69 % d'entre eux, d'y avoir des liens familiaux ou amicaux. Or, dans ces territoires, de brillants lycéens ne s'engagent pas vers des études longues faute, notamment, d'y être incités.
Par ailleurs, j'ai déposé avec M. Frappé des amendements, qui sont tombés, visant à établir une limite d'âge à l'obligation de participation à la permanence des soins. Je crains que des médecins âgés, qui continuent de travailler alors qu'ils pourraient faire valoir leur droit à la retraite, ne renoncent à poursuivre leur exercice.