Il y a vraisemblablement un flou sur le fait que cette disposition est déjà en vigueur : cela vaudrait donc la peine de l'inscrire dans la présente proposition de loi.
M. Vigier prétend qu'on ne peut pas adapter les politiques aux territoires. Il me semble pourtant que l'ancien numerus clausus était déterminé en fonction des capacités de formation et des territoires. Il pourrait en être de même pour les CESP : il faudrait encourager la conclusion d'un plus grand nombre de contrats là où les besoins en médecins sont les plus importants.