Je suis totalement transparent : nous comptons 80 millions d'euros de prêts de l'État ; nous avons environ 50 millions environ de dettes résiduelles qui sont de la dette liée à la Covid-19, tout ce que l'État a permis aux compagnies aériennes de reporter en matière de charges sociales ou de redevances de navigation aérienne. Ces données portent sur les années 2020, 2021 et 2022 et représentent un peu moins d'une cinquantaine de millions d'euros.