qui nous fait encore croire que la démocratie est vivante et que le partage des pouvoirs subsiste dans notre pays.
Il ne reste plus rien de notre texte, mis à part les amendements que la minorité présidentielle s'est gardés. Nous ne nous ridiculiserons pas à poursuivre le débat, d'autant que les organisations syndicales, que vous n'avez pas entendues, nous ont expliqué qu'il ne servait à rien de nous organiser dans le cadre d'une conférence sociale puisqu'elles-mêmes n'en voulaient pas. Par conséquent, nous retirons la proposition de loi, consternés par les attaques directes et puissantes contre le Parlement affaibli.
Vive le Parlement, chers collègues ! Vive le Parlement, vive la République et vive la France !