La brutalité des fins – cette réforme des retraites dont personne ne veut et que nous pouvions abolir dans un geste d'apaisement, le vote de la représentation nationale – justifie-t-elle vraiment les moyens que vous avez déployés jusqu'à ce jour ? Je crains, mes chers collègues, que vous n'ayez instillé un poison funeste au-delà de vous-mêmes, au-delà de ce quinquennat, au-delà de cet hémicycle.