Lorsque nous avons entendu Mark MacGann, il est revenu dans le détail sur les actions de lobbying menées auprès des acteurs publics mais également pour investir les champs intellectuel, médiatique et culturel, auprès du grand public. L'image d'Uber était plutôt favorable puisque l'entreprise apportait une nouvelle offre, un nouveau service innovant face à l'insuffisance de l'offre de taxis à l'époque. Finalement, M. MacGann nous a dit que les responsables d'Uber de l'époque avaient le sentiment que le cadre législatif (les lois « Thévenoud », « Grandguillaume », « Macron » et « El Khomri ») n'avait fait que réguler. Ce sentiment était-il partagé dans l'entreprise à cette époque ? L'entreprise avait-elle l'impression d'avoir remporté la bataille du lobbying ou était-elle déçue par les dispositions prises lors de ces années ?