Vous avez utilisé l'expression « hégémonie culturelle ». Il me semble intéressant d'évoquer le contexte intellectuel et médiatique de l'époque. Les taxis étaient plutôt impopulaires et beaucoup considéraient que l'offre était largement insuffisante à Paris comparativement à d'autres capitales. D'après de nombreux journalistes, Uber répondait donc à une demande implicite du marché, avec une offre nouvelle et innovante.
Pouvez-vous nous préciser ce que recouvre selon vous cette « hégémonie culturelle » et si elle a pu orienter les choix des décideurs publics et la nature du débat politique sur Uber et l'arrivée des VTC en France ?