Monsieur le président Brotherson, je répondrai d'abord à votre question. Le contrôle de la circulation aérienne à Tahiti est actuellement assuré par un radar qui sera prochainement remplacé par un système satellitaire dont tous les avions civils sont équipés. Les aéronefs militaires obéissant à des règles spécifiques pour des questions de sécurité n'en sont pas dotés et nous sommes conscients de l'enjeu que vous soulevez. Le ministère de l'intérieur et des outre-mer va s'en saisir.
À l'heure où vous quittez votre mandat de parlementaire et la présidence de la délégation aux outre-mer, je voudrais vous dire quelques mots, tout d'abord pour vous féliciter de votre victoire aux élections en Polynésie française.