Deuxièmement, Bruno Le Maire et moi-même avons expliqué que ces obligations s'imposeraient aux administrations – c'est un fait. Nous avons ajouté que nous souhaitions que les entreprises privées poussent plus loin la sécurisation de leurs données, et qu'il fallait partir, dans un premier temps, sur une base volontaire. Nous avons ajouté avec beaucoup de gravité que si nos entreprises qui détiennent des données sensibles ne se saisissent pas librement de cette offre de sécurisation, il n'est pas exclu qu'à un moment ou à un autre, nous en venions à une norme obligatoire pour protéger notre souveraineté industrielle et notre indépendance. Je réaffirme cette ambition devant vous.