Si nous adoptions cet article aujourd'hui, certains pays, qui hésitent encore à retenir un niveau de sécurité aussi élevé que le nôtre, s'empresseraient de reprocher à la France d'aller plus vite que la musique et de vouloir imposer trop rapidement des obligations trop contraignantes. Ils s'abriteraient derrière ces arguments pour faire échouer la négociation.