Certes, le renseignement et la sécurité sont séparés dans le modèle français. La difficulté, ici, réside dans le fait qu'on offre des techniques de renseignement à un organisme chargé de la sécurité. Si ce n'était pas le cas, nous n'en serions pas à demander des contrôles plus forts ! Vous devez entendre que, lorsqu'un organisme, placé sous l'autorité du Premier ministre, fait du renseignement, il y a un problème de séparation des pouvoirs.