Vous citez des attaques qui se sont produites il y a plus de cinq ans, mais il n'est pas nécessaire de disposer des données exactes qui les concernent, que d'ailleurs nous n'avons plus. Lorsqu'une attaque survient, il est possible de reconstituer son architecture et de la conserver, sans stocker l'ensemble des données de l'attaquant. En cas de procédure judiciaire, les données seront conservées sous scellés le temps nécessaire à l'enquête. Le sujet n'est plus le même, le cadre non plus.
Je veux bien qu'on me raconte des carabistoules, mais voter une loi comme celle-ci, qui prévoit des moyens exorbitants du droit, sur le fondement de carabistoules…