Je le répète, nous aimerions comprendre. En commission, nous avons évoqué des délais d'un an et demi, voire de deux ans, pour se prémunir de nouvelles attaques par les mêmes personnes ou organismes. Dont acte, car il s'agit là d'éléments objectifs, liés à ce qu'on sait de ces attaques du fait des retours d'expérience.
A-t-on, aujourd'hui, affaire à des attaquants que nous connaîtrions depuis dix ans, sachant que les technologies d'attaque ont largement changé depuis dix ans ! Des données numériques, conservées pendant un tel délai, seront complètement obsolètes.