Je rappelle toutefois que l'immense majorité des soignants, c'est-à-dire plus de 99 % d'entre eux, se sont fait vacciner, conscients de l'intérêt des vaccins pour protéger des formes graves. Alors que l'épidémie connaît une phase ascendante, la réintégration des soignants non vaccinés ne peut être à l'ordre du jour.