Il tend à supprimer l'alinéa 8, qui limite les conditions d'accès à la réparation des personnes blessées à « une période » à l'issue de laquelle les blessures ont été occasionnées. Or les blessures d'ordre psychique peuvent se déclarer quelques mois, voire des années après la blessure d'origine, notamment dans le cas d'un stress post-traumatique. Il me paraît donc important de rétablir l'alinéa 8 dans sa rédaction initiale, qui faisait référence à « des périodes ».