…pour laquelle ceux d'entre nous qui s'y sont engagés se donnent à fond.
Ce deuxième point m'amène à mon troisième argument. Monsieur le président Bourlanges, quand vous êtes venu en commission de la défense présenter cet amendement, vous avez cité Carl von Clausewitz et soutenu que la commission des affaires étrangères devait prendre en main le contrôle de l'application de la programmation militaire, ou du moins y contribuer, car la guerre est la continuation de la politique par d'autres moyens.