Nous n'empiétons pas sur votre action : de grâce, n'empiétez pas sur la nôtre !
Reste l'argument, le cadavre dans le placard, de la possibilité d'une jonction, d'une unification des deux commissions, comme c'est le cas au Sénat. Mais ce n'est pas à l'ordre du jour ! Ce n'est pas l'idée que partage une majorité de la commission des affaires étrangères, pas plus que ce n'est l'objet de cet amendement.
Justement, et je terminerai par-là, c'est parce que nous avons deux commissions, qu'elles réalisent chacune un travail et qu'elles concourent l'une et l'autre au contrôle de la politique étrangère et de la politique de défense, qu'elles doivent disposer des mêmes moyens de contrôle et d'information. C'est l'égalité dans l'interdépendance et dans l'indépendance.