Comment pourrait-elle s'inquiéter du fait que la commission des affaires étrangères, qui ne menace en aucune façon ses prérogatives, demande simplement à bénéficier des moyens de faire son métier ? Voilà ce que nous défendons.
Quant au sous-amendement n° 1833 de Mme Santiago, je ne reprendrai pas à mon compte la définition formulée naguère par M. Chevènement, qui voyait entre l'amendement et le sous-amendement la même différence qu'entre une pensée et une arrière-pensée : il n'y a pas d'arrière-pensée chez Mme Santiago, mais une observation tout à fait juste, et je soutiendrai son sous-amendement.