Troisième élément : vous avez raison, le projet nécessite des investissements très importants. C'est pour cette raison que la construction des accès au tunnel sous les Alpes sera progressive et cohérente avec l'évolution attendue des trafics entre la France et l'Italie.
Il est également vrai, comme vous l'avez dit, que les aménagements de la ligne existante Dijon-Modane, qui emprunte le tunnel historique du Mont-Cenis, permettront déjà de porter la capacité de fret de 3 à 16,8 millions de tonnes.