Ainsi, ce traité est davantage européiste que bilatéral. Il n'est, en fait, que le prétexte à faire avancer l'agenda de la Commission européenne, qui fonctionne par la technique des petits pas et du cliquet : tout ce qui est acquis est acquis ; tout retour en arrière est interdit. Il est hors de question pour nous, défenseurs du principe des nations, de fixer dans un traité l'objectif de l'abandon, pour un pays membre de l'Union européenne, de la défense de l'intérêt national.
Dans le détail, je n'hésite pas à le reconnaître, ce traité peut ouvrir des pistes de coopération avec l'Italie, que nous ne renions pas