Ma question porte sur la police de l'environnement et la disproportion parfois constatée entre les moyens d'armement utilisés dans le cadre de la lutte contre les braconnages et ceux utilisés lors de simples contrôles d'agriculteurs. Plusieurs agriculteurs se sont en effet plaints d'excès de zèle de la part d'agents de l'OFB. Pourriez-vous envisager l'élaboration d'une doctrine d'emploi des moyens d'armement permettant d'appréhender différemment les situations dans lesquelles il existe un réel danger, comme les braconnages, et les contrôles effectués auprès d'agriculteurs en train de travailler sur leurs terres ?