Député d'une circonscription littorale comptant quatre ports de pêche, j'aimerais vous demander comment vous envisagez la cohabitation entre la pêche artisanale, essentielle à notre souveraineté alimentaire, et la nécessaire protection des cétacés. Autrement dit, quelles actions concrètes comptez-vous mettre en œuvre pour réduire les captures accidentelles sans devoir procéder à des fermetures spatio-temporelles, qui seraient synonymes de mise à quai des bateaux, et donc de mort de la filière ?