Le niveau d'activité physique dans la population est très insuffisant au regard des recommandations de l'OMS, et ce quel que soit l'âge. La sédentarité – facteur de risque à part entière – progresse, à la faveur des évolutions de la société, marquées entre autres par le développement du numérique. Ces tendances de fond ont été amplifiées par l'épisode du covid, avec, notamment, le confinement et l'impossibilité de pratiquer une activité sportive suivie pendant plusieurs mois.
Vous avez également évoqué les enjeux de prévention du PNNS4, financé en partie par le programme 204. La prise en compte des effets de la crise sanitaire sur les habitudes alimentaires, la pratique de l'activité physique et la sédentarité en constituent un axe nouveau. Pourriez-vous nous en dire davantage sur l'action du Gouvernement dans ce domaine ? Comment s'articule ce programme avec la mise en œuvre de la Snanc ?