Le premier objectif de la mission Santé est l'amélioration de l'état de santé de la population et la réduction des inégalités territoriales et sociales de santé. On peut se satisfaire que l'espérance de vie en bonne santé après 65 ans continue à progresser, pour atteindre 77,3 ans pour les femmes et 75,7 ans pour les hommes.
La mission Santé finance également les communautés professionnelles territoriales de santé (CPTS). Quel est le coût de ce soutien, et quel est son bilan dans l'amélioration de l'accès aux soins des Français ?
L'un des indicateurs du programme 204 est le taux de couverture des plus de 65 ans contre la grippe. La cible était de 62 % en 2022. Or, 56,8 % de cette population a été vaccinée, contre 60 % l'année précédente. Comment l'expliquez-vous ? L'objectif fixé pour 2023 vous semble-t-il réalisable ?
L'Institut national contre le cancer connaît des difficultés de recrutement en raison du manque d'attractivité des postes, qui sont essentiellement des contrats à durée déterminée. Envisagez-vous de faire évoluer ces modalités de recrutement ?
Le programme 204 prévoit également une participation au financement des travaux de construction de l'académie de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) à Lyon, dont l'ouverture est prévue pour 2024. Quel est l'état d'avancement de ce chantier ?
Le programme Performance hospitalière pour des achats responsables (Phare) a été lancé en 2011. En 2022, il représente 2,5 millions d'euros en autorisations d'engagement et 2,2 millions en crédits de paiement. Où en est ce programme ?
Enfin, le programme 378 Carte Vitale biométrique a consommé 3,4 millions d'euros en autorisations d'engagements et crédits de paiement. Pouvez-vous revenir sur les différentes étapes prévues pour la carte Vitale biométrique ainsi que pour l'application carte Vitale ?