Ce rapport très intéressant met en lumière les actions à entreprendre pour pallier le manque d'équipements sportifs dont souffre en particulier le public scolaire. Vous indiquez à juste titre les mesures qui devront être prises pour continuer à appliquer le plan en 2024 et soulignez que des équipements n'ont pu être financés faute de crédits disponibles au cours de l'année des Jeux olympiques. Je vous rejoins sur le fait que l'effet JO ne doit pas s'arrêter brutalement. On peut espérer que les Jeux donnent l'envie de faire du sport, ce qui appelle l'affectation de moyens, en particulier pour la création de piscines. Il faut peut-être réfléchir aux moyens de développer la pratique sportive en milieu naturel. Deux sites ont été présélectionnés, dans ma circonscription, pour la baignade dans la Seine. L'École des hautes études en sciences sociales (EHESS) organisera un colloque sur le campus Condorcet d'Aubervilliers sur le droit des baignades et l'accès aux rivières urbaines, qui soulève souvent des problématiques juridiques. Cela me paraît être un gisement pour la pratique sportive de proximité, surtout dans le contexte du réchauffement climatique.