Je salue la relation entre la ministre des Sports et les grandes fédérations : elle a permis, je crois, de gérer un certain nombre de crises ces derniers mois.
S'agissant de la clarification de la gouvernance, vous avez souhaité, madame la ministre, préciser les rôles des différentes parties prenantes à la politique publique en faveur du sport. Quels sont, de votre point de vue, les principaux bénéfices de cette clarification ?
Les Comités départementaux olympiques et sportifs, qui ont beaucoup de mérite, jouent un rôle très important, mais ils ont des moyens assez faibles. Comment voyez-vous la situation ?
Je salue la très belle initiative qu'est le pass'sport. Ce dispositif compte plus de 4 000 bénéficiaires dans mon département. Les crédits n'ont pas été entièrement consommés l'année dernière, mais c'est une mauvaise économie, même s'il me semble que vous avez récupéré les fonds pour d'autres mesures. Quelles initiatives pourrait-on prendre pour s'assurer d'une utilisation complète de ces crédits ?
Madame Schiappa, le nombre de bénévoles fait l'objet d'inquiétudes au sein des associations. C'est pourquoi le FDVA 1 me paraît extrêmement important. Un bénévole formé apporte beaucoup à son association. Vous avez parlé du fléchage spécifique, depuis le PLF pour 2021, de 20 % des avoirs des comptes inactifs. Êtes-vous satisfaite de ce dispositif ? Faut-il le pérenniser ?
Pour ce qui est du SNU, je salue également les bénévoles. La montée en puissance du dispositif, qui se passe plutôt bien, est aussi basée sur un encadrement bénévole. Le SNU peut-il continuer à croître selon ce modèle ?