Je ne suis pas certain que l'État doive dépenser 1,5 milliard d'euros en contrepartie de la décision – qu'il a prise lui-même – de ne pas augmenter le nombre de taxis. Lorsque les VTC sont apparus, l'État a essayé de limiter fortement la capacité d'agir des plateformes. Les propositions de loi avaient précisément pour but d'ériger des barrières à leur entrée sur le marché, en déversant des tombereaux de contre-vérités à leur égard. Même si nous avons désormais écho des difficultés rencontrées par les chauffeurs, ces derniers, à l'époque, étaient plutôt satisfaits de travailler pour Uber.