Bien sûr. Une partie des taxis bénéficiaient d'un droit d'entrée puisqu'ils avaient acquis une licence. Il était normal qu'ils entretiennent du ressentiment contre les chauffeurs VTC qui n'avaient pas payé ce droit d'entrée. L'État – et en particulier le ministère de l'Intérieur – a une lourde responsabilité dans cette situation pour avoir régularisé, sans raison apparente, le trafic de licences, par la loi de 1995.