Sur le devoir de vigilance également, en effet.
Vous savez combien Bruno Le Maire, ministre de l'économie et des finances, se bat, en Européen, pour la taxe sur les multinationales. C'est aussi pour cela que nous voulons revoir les institutions européennes, les traités ou le vote à la majorité qualifiée, parce qu'il n'est pas possible qu'un État puisse bloquer toute l'Europe quand il s'agit de justice et de concurrence loyale au niveau mondial.
Il reste aussi des choses à faire en matière de transparence salariale – certains députés l'ont souligné. La présidence tchèque a repris le flambeau pour continuer à travailler ce sujet. Il restera de toute façon encore beaucoup à faire dans bien des domaines. L'Europe, c'est une somme de constructions ; nous y avons apporté non pas une pierre, mais un pilier et je crois que nous pouvons tous en être très fiers.