Cet amendement est au cœur du sujet. Aucune mission d'information ou d'inspection générale des services de la Ville de Paris n'a été menée sur l'offre complémentaire aux transports en commun que constitue l'offre de taxis et que pourraient constituer les VTC. Vous soulignez aussi, à raison, que la préfecture n'abordait pas non plus cette question sous un angle économique. La préfecture a d'ailleurs beaucoup de mal à définir précisément le nombre de chauffeurs VTC opérant dans la capitale. Vous indiquez également que le modèle Rousselet imposait sa loi dans le secteur, la G7 ayant largement profité de la décision de M. Pasqua de légaliser la spéculation sur les licences, au vu du nombre qu'elle en détenait et grâce à la création par les pouvoirs publics du modèle de locataire-gérant – prémices à la précarisation du travail développée par Uber.
Cependant, il existait d'autres manières de répondre aux besoins des usagers ; le développement d'Uber à Paris a notamment conduit à la fin d'Autolib. Vous souvenez-vous des autres amendements concernant les mobilités ?