Les deux solutions étaient possibles mais, dans la mesure où cette question concernait un secteur particulier et que d'autres priorités budgétaires existaient par ailleurs, je n'étais pas très enthousiaste à l'idée d'une telle indemnisation. En outre, je rappelle qu'un précédent avait eu lieu : les avoués avaient été indemnisés par une taxe spéciale sur les frais de justice, laquelle alimentait un fonds spécifique. J'ai proposé de créer un fonds adossé à la Caisse des dépôts et de créer une taxe de quelques centimes sur les courses, qui aurait alimenté pendant quelques années ledit fonds mais cette proposition n'a connu qu'un succès d'estime.