Comme je le disais, nous déployons sur l'ensemble de l'outre-mer un réseau de gardiens-concierges. Ils répondent aux attentes des locataires en termes de réactivité de gestion et à l'obligation réglementaire. En Martinique, les personnes dépendaient d'une société extérieure et assuraient une partie des fonctions de gardien, mais pas la totalité. Nous avons simplement appliqué la loi en mettant en place 45 gardiens en Martinique. Les fonctions n'étant pas les mêmes que celles préexistantes à travers la société prestataire, nous n'avons pas procédé à une reprise automatique du personnel, mais nous avons proposé aux salariés d'intégrer la société immobilière de la Martinique (Simar), c'est-à-dire de devenir les salariés de la Simar et non pas d'un prestataire. Plus de 90 % d'entre eux ont répondu favorablement. Ce dispositif a été mis en place en accord avec les salariés, selon le respect de la règlementation. Il a été calculé pour ne pas faire peser de charges supplémentaires en charges récupérables auprès des locataires.
Si j'étends ce sujet à l'ensemble des DOM, ce sont près de 300 empois que nous créerons au sein de cette filière de gardiennage.