Nous savions que des événements finiraient par se déclencher, même si nous en ignorions l'ampleur et le moment précis. Nous avions donc mené un travail préparatoire à la gestion de crise avec l'ambassade. Ainsi, nous avions constitué des stocks de vivres, d'eau et de gasoil, qui ont permis à la communauté regroupée de tenir plusieurs jours dans les locaux, dont la capacité d'accueil était très réduite.