Je suis surpris par vos propos, madame la députée. En effet, dans un pays avec lequel nous n'avons pas de relations historiques – autres que dans le domaine de l'archéologie –, nous avons réussi à jouer un rôle décisif, dans un premier temps en apportant tout notre soutien, y compris matériel, à la réalisation de l'espoir démocratique, et d'autre part dans cette phase aiguë. Sans notre capacité à dialoguer avec Burhan, Hemetti ou les pays frontaliers, nous n'aurions sans doute pas pu mener à bien notre mission d'évacuation. Pour la suite, chacun s'attelle à définir les conditions d'un cessez-le-feu.