Il n'y aura donc malheureusement pas grand-chose à retenir de cette présidence. Vous avez beaucoup annoncé, beaucoup fanfaronné, beaucoup revendiqué, mais vous avez en réalité accompli bien peu de vos priorités affichées, et rien qui soit à la hauteur des crises historiques auxquelles nous faisons face. Vous avez beau jeu de brandir la quantité de textes sur lesquels le Conseil s'est prononcé : quantité n'a jamais été synonyme de qualité. Finalement, la devise de votre présidence aurait pu être celle du Guépard : il faut que tout change pour que rien ne change.