Dernier point de cohérence : on ne peut pas dire, comme ce matin, que le retour dans le commandement intégré de l'Otan traduirait une forme d'abandon – je ne reviendrai pas sur ce débat – et vouloir s'en remettre en matière de sécurité en Méditerranée au seul groupe aéronaval Bush. Si nous voulons conserver notre autonomie stratégique et notre capacité à être forts au sein de l'Otan, ne laissons pas les clefs de la maison au seul porte-avions américain présent en Méditerranée.