Soit, nous l'entendons. Mais entendez aussi que la blessure a automatiquement un lien avec l'activité du militaire en service ; ce lien est intrinsèque au syndrome de stress post-traumatique. Il n'est donc pas possible de frauder ou de feindre.
Ce que nous vous proposons dans notre amendement de repli, qui se contente de compléter la « simplification » des démarches administratives par leur « réduction », c'est que le comité d'experts puisse rendre son avis sur la base du dossier médical du soldat blessé : il n'aurait plus besoin de le faire venir et de le rencontrer. Le médecin du SSA…