Merci, madame la secrétaire d'État, d'avoir pris le temps d'entrer dans le détail. C'est en effet un sujet sérieux et éminemment complexe, non seulement pour nous mais encore plus pour nos soldats blessés, notamment ceux qui le sont psychiquement, qui souffrent d'un syndrome de stress post-traumatique. On sait que l'un des symptômes de cet état est l'apathie qui entraîne l'impossibilité d'agir. Se rendre à une visite médicale, c'est pour eux un effort énorme.